Aujourd’hui, je pars dans un monastère ami, vivre ce 1er et ce 2 novembre : jours d’Espérance.
Alors que tant de violence, de propos haineux polluent notre monde, notre pays, faut-il fuir dans le silence d’une communauté monastique ?
Fuir : non.
Faire un pas de côté : oui, me semble-t-il.
Pourquoi ?
Pour accueillir, dans sa fraîcheur toujours nouvelle, l’innocence, la naïveté de Dieu, dont le grand projet demeure la fraternité.
Dans « ma besace », j’ai déposé deux textes pour inspirer ma méditation :
Ce petit garçon ?
L’innocence, la naïveté de Dieu qui rayonnent sur le visage d’un Enfant !
Aujourd’hui, je pars contempler le Visage désarmant de Jésus le Christ.
Jean-Michel+,
votre frère en Communion Béthanie
